L’association confirme l’état des lieux fourni par la préfecture à Bordeaux : à savoir près de 400 Roms, recensés dans une quarantaine de squats dans l’agglomération. Ces squats se déplacent dangereusement, selon elle, en périphérie de la ville, notamment dans la zone Sévéso de Bassens pour échapper aux expulsions.
« Nous avons en Gironde un accompagnement conséquent des populations Roms et des moyens satisfaisants. »
La reponsable associative reconnaît à la préfecture l’amélioration de la situation avec le suivi qui découle de la circulaire Valls. Elle dénonce cependant un problème dans l’élaboration du diagnostic, les associations comme Médecins du Monde par exemple n’étant pas sollicitées.